Difference between revisions of "Courtine d'autel"

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== Étymologie ==
 
== Étymologie ==
< lat. ''cortina'', « rideau », « voile » (Isidore de Séville, ''Originum libri'', 19, 26, 9 ; Saint Ambroise, ''Epistulae'', 20,24, cités par Gaffiot, p. 435). Isidore de Séville est cité par le lexicologue Niccolò Perotti : ''Dictae autem cortinae a coreis, eo quod prius ex pellibus fuissent factae'' (Charlet, p. 358).
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* Courtine : < bas latin ''cortina'', « rideau », « voile ».
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* Autel : < latin ''altare'', « autel (chrétien) » (Tertullien  (écrivain chrétien mort en 240), ''De oratione'', 11, cité par Gaffiot, p. 105).
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''Cortinae sunt aulaea'' (Isidore de Séville, ''Etymologiæ sive origines'', 19, 26, 9).
  
 
== Définition ==
 
== Définition ==
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**[[accessoire d'autel]]
 
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== Origines et développements ==
 
== Origines et développements ==
Les courtines d'autel ont une origine ancienne. On constate leur utilisation en occident dès le VIIIe siècle, même si leur utilisation est restreinte à Rome dans un premier temps. À l’origine les rideaux étaient au nombre de quatre (''tetravela''). L’usage des ''tetravela'' à Rome est attesté jusqu’au 13e siècle. Il est tombé en désuétude ailleurs au profit de deux rideaux placés sur les côtés de l’autel. Ceux-ci sont très courants dans le nord de l’Europe aux 14e, 15e et 16e siècles. Leur usage se réduit par après, même s’il semble se maintenir dans certaines régions jusqu'au 17e siècle (voir infra, Synode de Saint-Omer). Encore présent dans certaines églises au XVIII<sup>e</sup> siècle mais rare. Certaines représentations iconographiques montrent qu'ils restaient tout de même utilisés ([http://balat.kikirpa.be/object/10121574 fig. 3]). Leur progressive disparition est sans doute due à mettre sur le compte de la diffusion des autels monumentaux.
 
  
De plus en plus courant en Europe du nord à partir du XIVe siècle [[:File:z011684.jpg|(fig. 4)]] avant de tomber en désuétude progressive au cours du XVII<sup>e</sup> siècle.
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Les courtines d'autel ont une origine ancienne. Les premières mentions de leur utilisation en occident datent du 8e siècle, même si leur utilisation est restreinte à Rome dans un premier temps. À l’origine les rideaux étaient au nombre de quatre : les ''tetravela''(''&tau;&epsilon;&tau;&rho;&alpha;'', quatre, et ''velum'', voile). Ils étaient accrochés entre les colonnes du ciborium.
  
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L’usage des ''tetravela'' à Rome est attesté jusqu’au 13e siècle. Il disparaît ensuite au profit de deux rideaux placés sur les côtés de l’autel : les courtines. Absentes des textes prescriptifs jusqu'au 13e siècle, l'usage des courtines se répand au nord de l'Europe aux 14e, 15e et 16e siècles, ainsi qu'en témoignent de nombreuses représentations iconographiques. Les courtines tombent progressivement en désuétude à partir de la seconde moitié du 16e siècle, peut-être en lien avec l'apparitions des autels monumentaux. Leur usage semblent néanmoins se maintenir dans certaines régions jusqu'au 18e siècle (voir infra, Synode de Saint-Omer et, ci-contre, l’estampe de Kleber).
  
 
== Typologie ==
 
== Typologie ==
À l’origine les rideaux étaient au nombre de quatre (''tetravela''). Usage des ''tertavela'' à Rome jusqu’au XIIIe siècle. En désuétude ailleurs au profit de deux rideaux placés sur les côtés de l’autel. Ceux-ci sont très courants dans le nord de l’Europe aux XIVe, XVe et XVIe siècles. Leur usage se réduit par après, même s’il semble se maintenir dans certaines régions au XVIIe siècle (Le synode de Saint-Omer de 1640 demande que ce point soit inspecté au cours des visites d’églises). Encore présent dans certaines églises au XVIIIe siècle, mais rare (cf. tout de même le cliché Balat M165554, objet 10121574). Leur progressive disparition est sans doute due à la diffusion des autels monumentaux.
 
On les place tant à l’autel principal qu’aux autels latéraux (à la différence des ''tetravela'', seulement au maître autel). Si un mur est présent sur le côté de l’autel : un seul rideau. Parfois, un troisième rideau prend place à l’arrière de l’autel. Les anglais l’appellent ''dossal''. Chez Charles du Fresne du Cange (1610-1688), on trouve sous ''Dorsale, Dossal, Dossellus, Doxale, Dorsile''… de nombreuses mentions d’éléments textiles, en particulier pour revêtir l’arrière de l’autel.
 
Les rideaux sont accrochés soit à des tringles placées entre des colonnes en bois, métal ou pierre (surtout à l’autel majeur), soit à des bras (parfois escamotables, pour les autels secondaires). Ils sont parfois attachés au retable.
 
L'anglais ''Dossal'' désigne l’élément de courtine placé derrière l’autel (cf. supra ''Dorsale'').
 
  
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On place les courtines tant à l’autel principal qu’aux autels latéraux (à la différence des ''tetravela'', qui étaient seulement installés au maître autel). Si un mur est présent sur le côté de l’autel, un seul rideau suffit. Parfois, un troisième rideau prend place à l’arrière de l’autel. Les anglais l’appellent ''dossal''. Dans le [http://ducange.enc.sorbonne.fr/DORSALE ''Glossarium mediae et infimae Latinitatis''] de Charles du Fresne du Cange (1610-1688), on trouve sous les termes ''Dorsale, Dossal, Dossellus, Doxale, Dorsile''… de nombreuses mentions d’éléments textiles, dont certains sont destinés à être placés derrière l’autel.
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Les rideaux sont accrochés soit à des tringles placées entre des colonnes en bois, métal ou pierre (surtout à l’autel majeur), soit à des bras (parfois escamotables dans le cas des autels secondaires). Ils sont parfois attachés au retable.
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Les courtines, en général assez simples, peuvent être de couleurs variées et très brillantes et ouvragées, parfois couvertes de riches dessins, de figures, de sujets tissés ou brodés (Malet, p. 62).
  
 
== Textes normatifs ==
 
== Textes normatifs ==
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* Synode de Liège, 1287 : ''Cortinae a lateribus altaris utrimque appendatur, nec ab aliquo tempore Sacrificii retrahantur'' (Source : ''Concilia Germaniae'', vol. 3, p. 691).
 
* Synode de Liège, 1287 : ''Cortinae a lateribus altaris utrimque appendatur, nec ab aliquo tempore Sacrificii retrahantur'' (Source : ''Concilia Germaniae'', vol. 3, p. 691).
  
* Synode de Saint-Omer, 1640 : demande que ce point soit inspecté au cours des visites d’églises.  
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*[https://books.google.be/books?id=XNU-AAAAcAAJ&hl=fr&pg=PA290#v=onepage&q=cortin&f=false Synode d'Arras, 1570] : ''Sacerdotes sacerdotalibus integris et mundis induti ornamentis, ad missae sacrificium peragendum, mundi quoque et confessi accedant : altare tectum sit, ut minimum, duabus pallis, cortinae utriumque dependeant, ne sacrificantis visus detrahi possit.''
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* [https://books.google.be/books?id=dds-AAAAcAAJ&lpg=PA44&ots=67hjAxrgqw&dq=synode%20saint-omer%201640&hl=fr&pg=PA92#v=onepage&q&f=false Synode de Saint-Omer, 1640] : on demande à ce que ce point soit inspecté au cours des visites d’églises : ''Visantur altaria, an omnia sint consecrata, a pulvere et sordibus libera, tribus mundis mappis cooperta, instructa et ornata honestis picturis et imaginibus, non mutilis, non ruptis, non scandalosis, non apocryphas historias referentibus, aut nudas personas indecore repraesentatibus (atque etiam consideretur in aliis imaginibus per totum templum dispositis), corticis, idem antipendis, candelabris binis, caeterisque ornamentis atque imagine Crucifixi in medio.''
  
 
== Autres dénominations ==
 
== Autres dénominations ==
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== BALaT ==
 
== BALaT ==
[http://balat.kikirpa.be/results.php?typesearch=advanced&objectname=courtine+d'%27autel&period_start=1400&period_end=1700&sort=unsorted Les courtines d'autel (1400-1700) dans BALaT - Photothèque]
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[http://balat.kikirpa.be/results.php?typesearch=advanced&objectname=courtine+d%27autel&sort=unsorted Les courtines d'autel (XIXe siècle) dans BALaT - Photothèque]
 
 
[http://balat.kikirpa.be/results.php?typesearch=advanced&subject=courtine+d'%27autel&period_start=1400&period_end=1700&sort=unsorted Représentations de courtines d'autel (1400-1700) dans BALaT - Photothèque]
 
 
 
[http://balat.kikirpa.be/results_bib.php?typesearch=advanced&filter=all&IDs=courtine+d'%27autel&sort=year&sort=yeardesc&limit=24 Les courtines d'autel dans BALaT - Bibliothèque]
 
  
== Fichiers liés ==
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[http://balat.kikirpa.be/results.php?typesearch=advanced&subject=courtine+d%27autel&period_start=1400&period_end=1700&sort=unsorted Représentations de courtines d'autel (1400-1700) dans BALaT - Photothèque]
  
[[Media:courtine.pdf|Courtine d'autel, fiche du thésaurus]] : Dernière modification le 5-3-2020.
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[http://balat.kikirpa.be/results_bib.php?typesearch=advanced&filter=all&IDs=courtine+d%27autel&sort=year&sort=yeardesc&limit=24 Les courtines d'autel dans BALaT - Bibliothèque]
  
 
== Bibliographie ==
 
== Bibliographie ==
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* Joseph Braun, ''Der christliche Altar in seiner geschichtlichen Entwicklung'', t. II, ''Die Ausstattung des Altars, Antependien, Velen, Leuchterbank, Stufen, Ciborium und Baldachin, Retabel, Reliquien- und Sakramentsaltar, Altarschranken'', Munich, 1924, p. 134-147.
 
* Jean-Louis Charlet, ''La correspondance philologique de Niccolò Perotti, Edition critique, traduction et commentaires'', 2018.
 
* Jean-Louis Charlet, ''La correspondance philologique de Niccolò Perotti, Edition critique, traduction et commentaires'', 2018.
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* J. Malet, « Essai sur les autels », ''Revue de l'art Chrétien'', 23e année, 2e série t. 11 (38e de la collection), 1879, p. 53 et 61-62.
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* Joël Perrin & Sandra Vasco Rocca (dir.), ''Thesaurus des objets religieux. Meubles, objets, linges, vêtements et instruments de musique du culte catholique romain. Religions objects of the Catholico Faith. Corredo ecclesiastico di culto cattolico'', Paris, Caisse nationale des Monuments historiques, éditions du Patrimoine, 1999, p. 270.
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* Jean-Baptiste Thiers, ''Dissertations ecclésiastiques sur les principaux autels des églises, les jubés des églises, la clôture du choeur des églises'',  Paris 1688 (chapitre 19).
  
* J. Malet, « Essai sur les autels », ''Revue de l'art Chrétien'', 23e année, 2e série t. 11 (38e de la collection), 1879, p. 47-68.
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[[Category:Objet lié à l'autel]]

Latest revision as of 18:57, 12 December 2021

Messe de Saint-Grégoire du Missel d'Utrecht, 1426-1450, © IRPA, Bruxelles, cliché Z011684
Maître du retable de saint Barthélemy, Messe de Saint-Grégoire, ca. 1535 (détail) © IRPA, Bruxelles, cliché X003035
Vitrail de Lichtfield provenant de l'ancienne abbaye d'Herkenrode. Détail représentant Jean de Hornes, 1532-1539 © IRPA, Bruxelles, cliché X027105
Ignace Sébastien KLAUBER, L’adoration du saint Sacrement, 2e moitié du XVIIIe siècle © IRPA, Bruxelles, cliché M165554


Étymologie

  • Courtine : < bas latin cortina, « rideau », « voile ».
  • Autel : < latin altare, « autel (chrétien) » (Tertullien (écrivain chrétien mort en 240), De oratione, 11, cité par Gaffiot, p. 105).

Cortinae sunt aulaea (Isidore de Séville, Etymologiæ sive origines, 19, 26, 9).

Définition

Ensemble de rideaux délimitant l’espace autour d’un autel. La courtine est suspendue à un ciborium ou à un porte-courtines. Elle est généralement placée de chaque côté de l’autel et parfois derrière celui-ci.

Hiérarchie

Origines et développements

Les courtines d'autel ont une origine ancienne. Les premières mentions de leur utilisation en occident datent du 8e siècle, même si leur utilisation est restreinte à Rome dans un premier temps. À l’origine les rideaux étaient au nombre de quatre : les tetravela(τετρα, quatre, et velum, voile). Ils étaient accrochés entre les colonnes du ciborium.

L’usage des tetravela à Rome est attesté jusqu’au 13e siècle. Il disparaît ensuite au profit de deux rideaux placés sur les côtés de l’autel : les courtines. Absentes des textes prescriptifs jusqu'au 13e siècle, l'usage des courtines se répand au nord de l'Europe aux 14e, 15e et 16e siècles, ainsi qu'en témoignent de nombreuses représentations iconographiques. Les courtines tombent progressivement en désuétude à partir de la seconde moitié du 16e siècle, peut-être en lien avec l'apparitions des autels monumentaux. Leur usage semblent néanmoins se maintenir dans certaines régions jusqu'au 18e siècle (voir infra, Synode de Saint-Omer et, ci-contre, l’estampe de Kleber).

Typologie

On place les courtines tant à l’autel principal qu’aux autels latéraux (à la différence des tetravela, qui étaient seulement installés au maître autel). Si un mur est présent sur le côté de l’autel, un seul rideau suffit. Parfois, un troisième rideau prend place à l’arrière de l’autel. Les anglais l’appellent dossal. Dans le Glossarium mediae et infimae Latinitatis de Charles du Fresne du Cange (1610-1688), on trouve sous les termes Dorsale, Dossal, Dossellus, Doxale, Dorsile… de nombreuses mentions d’éléments textiles, dont certains sont destinés à être placés derrière l’autel. Les rideaux sont accrochés soit à des tringles placées entre des colonnes en bois, métal ou pierre (surtout à l’autel majeur), soit à des bras (parfois escamotables dans le cas des autels secondaires). Ils sont parfois attachés au retable.

Les courtines, en général assez simples, peuvent être de couleurs variées et très brillantes et ouvragées, parfois couvertes de riches dessins, de figures, de sujets tissés ou brodés (Malet, p. 62).

Textes normatifs

Il n'y a pas d’obligations, mais la courtine d'autel est conseillée par de nombreux synodes (Cologne 1280, Münster 1279, Liège 1287, Cambrai ca. 1300).

  • Synode de Cologne, 1280 : Cortinae in lateribus altaris utriusque appendatur nec in aliquo tempore sacrificii retro trahantur (Braun, 1924, p. 199)
  • Synode de Liège, 1287 : Cortinae a lateribus altaris utrimque appendatur, nec ab aliquo tempore Sacrificii retrahantur (Source : Concilia Germaniae, vol. 3, p. 691).
  • Synode d'Arras, 1570 : Sacerdotes sacerdotalibus integris et mundis induti ornamentis, ad missae sacrificium peragendum, mundi quoque et confessi accedant : altare tectum sit, ut minimum, duabus pallis, cortinae utriumque dependeant, ne sacrificantis visus detrahi possit.
  • Synode de Saint-Omer, 1640 : on demande à ce que ce point soit inspecté au cours des visites d’églises : Visantur altaria, an omnia sint consecrata, a pulvere et sordibus libera, tribus mundis mappis cooperta, instructa et ornata honestis picturis et imaginibus, non mutilis, non ruptis, non scandalosis, non apocryphas historias referentibus, aut nudas personas indecore repraesentatibus (atque etiam consideretur in aliis imaginibus per totum templum dispositis), corticis, idem antipendis, candelabris binis, caeterisque ornamentis atque imagine Crucifixi in medio.

Autres dénominations

Voiles d'autel.

Autres langues
NL altaargordijn
EN riddel, altar curtains
DE Altarvelen
IT cortina d’altare
ES cortina del altar
Langues anciennes
Latin tetravela, cortina

BALaT

Les courtines d'autel (XIXe siècle) dans BALaT - Photothèque

Représentations de courtines d'autel (1400-1700) dans BALaT - Photothèque

Les courtines d'autel dans BALaT - Bibliothèque

Bibliographie

  • Joseph Braun, Der christliche Altar in seiner geschichtlichen Entwicklung, t. II, Die Ausstattung des Altars, Antependien, Velen, Leuchterbank, Stufen, Ciborium und Baldachin, Retabel, Reliquien- und Sakramentsaltar, Altarschranken, Munich, 1924, p. 134-147.
  • Jean-Louis Charlet, La correspondance philologique de Niccolò Perotti, Edition critique, traduction et commentaires, 2018.
  • J. Malet, « Essai sur les autels », Revue de l'art Chrétien, 23e année, 2e série t. 11 (38e de la collection), 1879, p. 53 et 61-62.
  • Joël Perrin & Sandra Vasco Rocca (dir.), Thesaurus des objets religieux. Meubles, objets, linges, vêtements et instruments de musique du culte catholique romain. Religions objects of the Catholico Faith. Corredo ecclesiastico di culto cattolico, Paris, Caisse nationale des Monuments historiques, éditions du Patrimoine, 1999, p. 270.
  • Jean-Baptiste Thiers, Dissertations ecclésiastiques sur les principaux autels des églises, les jubés des églises, la clôture du choeur des églises, Paris 1688 (chapitre 19).