Difference between revisions of "Amict (f)"

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== Bibliographie ==
 
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BRAUN, Joseph, Die liturgischen Paramente in Gegenwart und Vergangenheit. Ein Handbuch der Paramentik, Herder&Co, Fribourg-en-Brisgau, 1924, p. 67-72 ; Joseph BRAUN, „Amikt“, in: Reallexikon zur Deutschen Kunstgeschichte, Bd. I (1934), p. 636–638; in: RDK Labor, URL: http://www.rdklabor.de/w/?oldid=94493 [23.10.2016] ; TOR, p.$$.
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* BRAUN, Joseph, Die liturgischen Paramente in Gegenwart und Vergangenheit. Ein Handbuch der Paramentik, Herder&Co, Fribourg-en-Brisgau, 1924, p. 67-72
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* BRAUN, Joseph, „Amikt“, in: Reallexikon zur Deutschen Kunstgeschichte, Bd. I (1934), p. 636–638; in: RDK Labor, URL: http://www.rdklabor.de/w/?oldid=94493 [23.10.2016]
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Revision as of 11:56, 23 March 2020

Titre de l'oeuvre légende, date, © IRPA, Bruxelles, cliché XXXXX

Étymologie

< lat. amictus (vêtement longe des romains qui couvrait la tête) < amicire « couvrir ».

Définition

Grande toile rectangulaire de couleur blanche, généralement en lin, munie de cordons, parfois décorée d’une frise sur son bord supérieur ou ornée d’une croix en son centre, que le prêtre revêt, selon un rituel spécifique, sur une partie de son aube et sa nuque.

Hiérarchie

Origines et développements

Les origines de cet objet ne sont pas totalement établies. Joseph BRAUN y voit le dérivé du grand linge qui servait d’écharpe ou le tour de cou que portaient toutes les classes sociales au cours de l’Antiquité pour se protéger du froid ou de la saleté. Il rejette l’interprétation selon laquelle il s’agirait d’un dérivé de l’Ephod des prêtres juifs (contrairement au rational qui le rappelle directement). L’amict devient un vêtement liturgique au IXe siècle, mais ne s’impose que progressivement dans l’ensemble du clergé. C’est seulement au XIe siècle qu’il se généralise.


Typologie

xxx

Textes normatifs

Usage : À partir du début du XIIe siècle se met en place la pratique de placer l’amict autour de la tête et de le garder ainsi au cours de l’habillement avec la chasuble, voire même jusqu’à l’autel. On le replie ensuite autour du cou. L’amict est obligatoirement fait de lin, et on ne rencontre que très rarement de tels ouvrages dans une autre matière. Le décor n’est actuellement plus composé que d’une petite croix, mais était jadis parfois plus important, en particulier sur le bord supérieur où une frise brodée ou ornée de plaques métalliques décorait le col. À partir du XVIe siècle, cette façon de porter l’amict tend à disparaître, et avec elle le décor du bord supérieur. Dans les pays germaniques, le passage de l’amict paré vers l’amict simple sa lieu vers 1600. En France et en Espagne, l’amict paré se maintient jusqu’au XVIIIe siècle.


Synode XXX :

"Lorem ipsum dolor" Source : Concilia Germaniae, vol. 3, p. 691.

Autres dénominations

Autres langues
NL amict (n)
EN amice
DE Humerale, Amikt, Schlutertuch
IT amitto
ES terme ES
Langues anciennes
Latin amictus, humerale, superhumerale, fano, anabolagium, anagolaium
mitteldt. humeral, umbral

BALaT

Les amicts (1400-1700) dans BALaT - Photothèque $

Représentations d'amicts (1400-1700) dans BALaT - Photothèque $

Les amicts dans BALaT - Bibliothèque $

Fichiers liés

Amict (f), fiche du thésaurus : Dernière modification le 28-11-2017

Bibliographie

  • BRAUN, Joseph, Die liturgischen Paramente in Gegenwart und Vergangenheit. Ein Handbuch der Paramentik, Herder&Co, Fribourg-en-Brisgau, 1924, p. 67-72
  • BRAUN, Joseph, „Amikt“, in: Reallexikon zur Deutschen Kunstgeschichte, Bd. I (1934), p. 636–638; in: RDK Labor, URL: http://www.rdklabor.de/w/?oldid=94493 [23.10.2016]
  • TOR, p. $$.